Vendredi 10 octobre : Fourneaux : Festival des Poules à crêtes : avec Amanit', Jésus et ses Potes, Edouard Nenez et les Princes de Bretagne
// octobre 10th, 2008 // Pas de commentaire » // Concerts 2008
Et voilà, les shows s’enchaînent et chuis à    la traîne (répétez cette phrase 10 fois de suite et payez    vous une bonne tranche). Et je ne suis même plus capable de compte-renduer    en temps et en heure. Rien ne va plus. En plus, j’ai une mémoire de fourmi,    donc, pondre un compte-rendu avec 3 semaines de retard tient de la performance    olympique. Enfin, je n’en suis pas encore au point de XIII ou de Yann Bop et    comme on a une fois de plus passé un bon week-end, je vais tenter de    vous faire partager quelques bribes de souvenirs.
 Je    me souviens déjà qu’on est arrivé super en retard à    Fourneaux, mais que les organisateurs étaient vraiment sympas, ils nous    avaient attendus et on a pu faire une balance rapide grâce à une    sonowoman ultra-efficace. Ca tombe bien car la salle est grande et belle, et    la scène aussi, d’ailleurs. Ca mérite donc bien une vraie balance.    Ensuite, on apérote, on papote et on dîne en compagnie d’Edgar    Menez et ses pinces de Grande Bretagne. Depuis notre dernière rencontre,    le gars Edouard (Gloire à lui) a gardé son batteur mais a recruté    3 jeunes trentenaires qui, bien qu’un peu maigrichons, se sont avérés    être très sympathiques et également d’excellents musiciens.    On a donc passé une bonne soirée. On a très bien mangé    et on a bien rigolé.
Je    me souviens déjà qu’on est arrivé super en retard à    Fourneaux, mais que les organisateurs étaient vraiment sympas, ils nous    avaient attendus et on a pu faire une balance rapide grâce à une    sonowoman ultra-efficace. Ca tombe bien car la salle est grande et belle, et    la scène aussi, d’ailleurs. Ca mérite donc bien une vraie balance.    Ensuite, on apérote, on papote et on dîne en compagnie d’Edgar    Menez et ses pinces de Grande Bretagne. Depuis notre dernière rencontre,    le gars Edouard (Gloire à lui) a gardé son batteur mais a recruté    3 jeunes trentenaires qui, bien qu’un peu maigrichons, se sont avérés    être très sympathiques et également d’excellents musiciens.    On a donc passé une bonne soirée. On a très bien mangé    et on a bien rigolé.
Quand la musique a commencé, on est allé installer nos stands    de bizness dans la salle, histoire de mater les autres groupes confortablement    assis sans pour autant passer pour les vieux chnoks aux genoux en vrac que nous    sommes pourtant. Amanit’ a eu la lourde tâche de jouer en premier et malgré    le peu d’entrain du peu de public, ils s’en sont plutôt bien sortis avec    notamment une bonne reprise du Porcherie des Bérurier Noir. Jésus    et ses 2 potes ont pris la suite avec un punk californien de fort bonne facture.
On a joué ensuite, vers 23 H, ce qui correspond en gros à l’horaire    idéal : pas trop tôt, pas trop tard, public arrivé mais    pas trop rébou. Dans ces conditions, on a fait un bon concert, bien aidé    par un public présent et enjoué. On a bien profité de la    grande scène et j’ai pu poser ma gratte sur les 4 derniers morceaux et    sautiller partout comme un Vérole de pacotille. Edouard Nenez est venu    gueuler avec nous sur Mayday Mayday car c’est un homme de goût. D’ailleurs,    il a pu le prouver en prenant la suite avec ses Binces de Pretagne. A l’instar    du pinard qui se bonifie avec l’âge, l’Edouard se punkifie avec le rajeunissement,    ce qui n’est pas fait pour nous déplaire. Sur scène, ça    assure et ça s’amuse et dans le public aussi. Les nouveaux morceaux    dégagent du slip et on s’est copieusement fait pipi dessus sur le slow    d’amooouuuur. On est aussi allé gueuler sur Les Punks de 40 ans, car    nous sommes des hommes de goût. On a aussi bien aimé les sons stupido-démoniaques    du clavier estampillé 1980 avant JC (Jeanmi Cheljarre).
Ensuite, on a fini la soirée autour d’alcools divers avec une poignée    d’irréductibles bénévoles, jusqu’à ce que le combat    cesse faute de combattant. De toute façon, on était tous dans    une grande pièce avec d’un côté une grande tablée    avec les boutanches et de l’autre côté des matelas avec des duvets,    pour ceux qui ne l’avaient pas oublié !

Gloire à Edouard

Yann Bop et Edouard Nenez en grande discussion
entre notre concert et le sien …

… les mêmes quelques heures plus tard !
























