Archive de Non classé

B Bop bosse encore

// avril 23rd, 2021 // Pas de commentaire » // Non classé

Vu qu’on a pas grand chose d’aut’ à foutre que de mater des ouidéos, enfermés chez soi, en voici 2 nouvelles.

LA répète de mars en MondoVision 4 caméras (mais où s’arrêteront-ils ?).

Si you soune, les potos.

 

B Bop bosse

// mars 11th, 2021 // Pas de commentaire » // Non classé

2021 s’annonce aussi riche en concert et festivités que 2020.

B Bop arrive à répéter au rythme effréné d’une répète par mois (sauf en février, il y avait moins de jours, on n’a pas eu le temps) pour essayer de pondre des nouveaux morceaux.

Pour partager ces grands moments de créativité artistico-bruyante, voici une paire de ouidéos filmées par un dimanche glacial de janvier 2021 avec pas moins de 2 caméras, mais aucun intermittent du spectacle pour les tenir (on n’en a pas trouver de dispo).

Enjoï

Concert le 7 décembre à Orléans – Blue Devils

// novembre 20th, 2018 // Pas de commentaire » // Non classé

Avec les magnifiques Strong Come Ons / Dellorto /R’N’C’S ! au Blue Devils

Concert de soutien au projet d’impression du livre « Live on Stage », une collection de photographies concerts. Entrée : prix libre à partir de 5€.

Pour également soutenir et partager le projet de Jack Torrance, un lien : https://fr.ulule.com/live-on-stage/

https://www.facebook.com/events/2392876247395672

7dec

Nom de code : Bop 6

// mars 6th, 2016 // Pas de commentaire » // Non classé

 

bop6prepaVoici la réponse à la question que tout le monde se pose :
« Bordel, mais qu’est-ce que tu fous Brigitte ?
Tu ne réponds plus aux mails.
Tu ne fais plus de concerts.
Tu ne postes plus sur Fessebouc.
T’as laché l’affaire ? »

Que nenni, cher public.
On bosse comme des fous (au moins 2 heures tous les 15 jours).On prépare un nouvel album, le 6ème.
On va enregistrer début avril et on espère que ça sortira avant l’été chez Trauma Social.

A suivre …

Back in 77

// août 6th, 2015 // Pas de commentaire » // Non classé

Pas l’année, le département

Brigitte Bop en concert à 22 h au Festival LAGRANGE à Gironville

le samedi 22 août.

B Bop n’ clip

// juin 30th, 2014 // Pas de commentaire » // Non classé

Qu’est-ce qu’elle fout, la Brigitte ?
Réponse : Elle prépare des nouveaux morceaux et tourne des clips d’anciens morceaux.

Pour preuve, voici un compte-rendu imagé du tournage de dimanche dernier dans la campagne orléanaise.

Au départ, Brice B.,notre nouveau vidéaste, avait prévu une belle histoire de vélo, de 2 CV et de pin-up en extérieur. On avait même fait des repérages en bord de Loire et caler ça le 29 juin,histoire d’être sûr d’avoir beau temps. Sûr ? Mon cul ! C’est le 1er week-end complet de flotte depuis des lustres.
Mais qu’à cela ne tienne, on en a vu d’autres ! On maintient le tournage et Brice nous sort un plan B de sa Gopro.
Il y a toujours un vélo, un cycliste Brigade du Tigresque et la pin-up se fait manageuse, mais garde sa tenue, ce qui est, vous en conviendrez avec moi, une bonne idée !

Sortie mondiale : pour le Tour de France, évidemment !

La suite, en images, sous vos applaudissements :

En attendant les intermittents parisiens et la prochaine averse, la Berry Bop Team fait de la mécanique

Ca y est, l'équipe de tournage (Brice) et les acteurs (Luconzeweb et Nanoo des Bois) sont dans la place

La déco est prête et de bon goût

Best grimpeur from Actors StudioMecanic Carlos Bop

Touche finale

Prise de vue et émasculation cyclistique sont les 2 mamelles d'un clip de Brice B.

 

Nanoo des Bois dans son élément (les Bois)

Vas-y Alberto !

L'averse et la pause sont terminées, il faut y retourner

Test matos par Yann Bop

Place au pro

Prise batterie

Photo de famille pour fêter la dernière prise

Une petite répète par là-dessus et on rentre au bercail en deuche ... sous la pluie. Vive les plan B

 

10 000 mercis à Brice, Nanoo des Bois et Luconzeweb pour leur professionnalisme amateur (et vice-versa) et que vive le cyclimse libre !

Vendredi 15, samedi 16 et dimanche 17 novembre : Le Cateau, Roisel et Mons

// novembre 27th, 2013 // Pas de commentaire » // Actualités, Concerts 2013, Non classé

Allez, c’est reparti pour un 3ème week-end d’affilée ! Du jamais vu dans la famille Bop. Et en plus, on file rejoindre les potos des M26-7 dans le Ch’nord, ce qui est toujours source de découverte inconnue. Bon, je vous l’accorde, c’est un peu pléonastique, mais c’est pas si loin de la réalité.
Tous les matos est encore humide dans le camion, mais on vide tout quand même pour virer la malle de 2 tonnes et mettre les pieds de batterie dans le nouveau sac spécialement prévu à cet effet, façon caddie de golf. La Classe ! Bon, le trajet,comme d’hab’, c’est mega-relou avec périph’ bouché et un milliard de connards sur l’A 1. Au moins, on n’a pas la flotte.
Arrivée à Cambrai vers 19 H, on pose nos sacs à « La coloc’ du Cambraisis », on récupère Anthony, notre guide touristique de la soirée et on file sur le Cateau, bourgade nordiste bien connue des punks à iench pour son fameux festival Zikenstock. Le Saint Matthieu, qui nous accueille, est juste en face du musée Matisse (le peintre, pas la voiture) mais on arrive trop tard pour la visite. Dommage. Tous les copains disent que c’est super … même s’ils n’y ont jamais foutu les pieds.

M26-7 au Cateau

Le crew M26-7 est dans la place. Gros Mil et Nico sont chauds comme la breizh et les autres se marrent (pour le moment). On rentre dans le moule local avec une petite mousse et on papote entre vieux potes car le programme de la soirée est millimétré comme du papier à musique : retransmission du match de foot France-Ukraine, installation du matos à la mi-temps, grosse bouffe charcutaille, frites, fromage et bière brune et concert après la défaite. Programme scrupuleusement
respecté par les zicos et les joueurs.
A défaut de balance, les M26-7 entrent en piste avec une sono asthmatique  mal réglée. Et comme Gros Mil est tout bourrave, l’articulation, le souffle et les paroles morflent sévère. Nico essiae de compenser en allant faire le guignol dans le public (et ça fonctionne) et les autres assurent la machinerie punk-rock derrière.
Globalement, la prestation est à peu près du niveau de l’équipe de France de foot qui vient de se prendre 2 pions en 1ère partie. Ce n’est pas très grave car le public local est lui aussi bien chargé et totalement acquis à la cause du M26-7, même diminué.
Avant de prendre la suite, on jette judicieusement un coup d’oeil à la sono, on trouve le bouton magique (le gain de l’ampli) et on arrive à la faire cracher correct.

Lolux Bop à donf

Carlos Bop et Nico M26-7

La liste des morceaux est sérieusement malmenée pour rajouter plein de Clash et la nouveauté du jour vient de la pause en plein milieu du set provoquée par le patron du rade qui nous impose une pause de 10 minutes pour offrir une tournée générale pour fêter les 2 ans de son bar. Du jamais vu ! On reprend après que la bière et divers alcools aient coulé à flot et encore après, le taulier rapplique régulièrement dans le pogo pour refiler des demis à ceux qui tiennent à peu près debout. On  s’achève avec les 2 choristes poids lourd du M-26-7 sur Camarade et Anarchy in eul’ Berry. Merci bonsoir.
Après rangement du matos et le 18ème verre de l’amitié, on rentre calmement à la coloc’ pour finir la soirée à coup de pastaga, de Queue de Charrue et de best-of des Stray Cats.
Un petit dodo au chaud et même au très chaud, vu qu’on a a bloqué le radiateur en mode toutafond. Heureusement, Yann a tout réparé avant de repartir : démontage du robinet thermostatique, dégrippage, purge, remise en eau, réglages chaudière et formation pédaogique en bonus. Punk rock et tuyauterie : même combat !
On file ensuite chez Mr et Mme Nico M26-7 pour un déjeuner dominical exceptionnellement avancé au samedi midi. Un petit café pour les accros à la caféine, une petite sieste pour les accros au canapé et on repart.
Au revoir le Nord, bonjour la Somme. C’est tout plat et les betteraves roulent à fond sur les départementales. C’est comme la Beauce en plus … non, c’est juste comme la Beauce.

Ze famous belote war

On déboule à Roisel à 18 heures pétantes, en même temps que les vieux potes lillois de Toxic Waste. On ne s’est pas vu depuis pas mal d’années (14 pour être précis), mais de l’avis général des milieux autorisés, on n’a pas changé et eux non plus. Les Toxic investissent la scène pour la balance et nous, on investi le backstage qui ressemble au ventre de Moby Dick pour une belote. L’heure est grave. C’est la belle d’un tournoi épique qui court sur ces 3 week-ends de suite (voir les compte-rendus précédents), mais la conclusion de ce combat des chefs ne sera pas pour ce soir : le concert commence alors qu’on est à une manche partout.
Alors, comme disait Tatayet (ou Leonid Brejnev, je ne sais plus) : Maintenant, place à la musique.
Lisa a peur a déclaré forfait pour raison médicale. Ils sont remplacé par Notepok, du punk hard-core avec un peu d’emo et des gros morceaux de reggae dedans.

Toxic Waste à Roisel

Les M26-7 prennent la suite. Les stigmates de la veille sont toujours visibles sur les tronches des 2 lead vocals. Le concert est correct, mais ça manque de quelques heures de sommeil et surtout de public. En effet, une cinquantaine de locaux ont répondu à l’appel du punk-rock. C’est peu, surtout dans une salle qui pourrait facilement en contenir 300. Du coup, on a pu les filmer pour leur projet de DVD prévu pour 2027.
Toxic Waste a ensuite balancé un bon set qui a visiblement satisfait le public.
Quant à nous, il n’est pas loin d’une heure du mat’ quand on monte sur scène. Il n’y avait déjà pas grand monde avant, mais là, on se retrouve face aux survivants, la crème de l’élite, les forçats du rock n’ roll. Avec la tripotée de concerts qu’on vient de se faire, on est rôdé et du coup, on profite bien de la grande scène. Les clasheries et toy dollseries font leur effet sur les anciens et les anciennes et on a même droit à un vrai rappel. Cool ! Ensuite, on arrive à arracher quelques euros et autres modes de paiement en échange de tee shirts, patchs et 45 tours. Encore quelques papotages et vers 4 H, on descend au bout de la rue pour rejoindre notre gîte : l’ancienne gare retapée en maison de jeunes et gîte d’étape. Ça nous fait un petit appart’ bien cosy auquel on rend hommage en dormant comme des loirs et même en prenant une douche.

B Bop à Roisel

Ze famous belote war : zi end

Dimanche, après un bon petit déj’, retour au sport avec la finale des finales du tournoi de belote inter-bop. L’heure est grave et la tension est à son comble. Le score est serré comme un string tout le long de la partie et les 2 équipes ne seront départagées que par le dernier pli de la dernière mène. La paire Carlos / Lolux a été à 2 doigts de réitérer le capo extrême de Guéret, mais finalement, la victoire nous revient avec Yann. On évite tout triomphalisme car ça nous a bien chauffer aux miches.
Allez, on range les cartes, les slips et les brosses à dents et on remonte dans le Vito, direction la Gelbique. C’est le fameux Béru du BKF qui nous a proposé de transformer notre virée dans le Chnord en tournée européenne et ce genre de proposition ne se refuse car ça permet de bien se taper la frime au boulot la semaine suivante : «Excuse-moi, Chantal, je suis un peu crevé, j’étais en tournée européenne ce week-end. Tu le veux pour quand ton Power Point ? »
Nous voilà donc dimanche à 18 H à Mons. Il fait nuit. Il fait foird. Mais la bière d’accueil fait oublier tout ça. Masra Tarath, l’autre groupe de la soirée, arrive à peu près en même temps et on décharge tout le matos en mode collaboratif (comme dit mon DGS). Installation, apéro et mangement chaud : un bon chili, mais qui laisse présager le pire pour le voyage du retour. A 20 H pétantes, avec une conscience professionnelle qui frise l’excellence, Masra Tarath va balancer du son, malgré l’absence quasi totale de public, composé uniquement d’un fan qui avait réalisé son propre tee shirt de B Bop à partir de la petit Brigitte de la couv’ d’Highway to punk. La Classe ! Ajoutez un pilier de comptoir, la patronne, Béru et nous. Ça ne fait pas beaucoup, mais le bar est petit, donc ça le remplit pas mal. Par contre, s’il y en a un qui va pisser, ça se voit tout de suite.
Ce concert – répé est quand même une réussite musicalement parlant. A part un grosse plante fêtedelamusiquesque chacun, ça a plutôt bien joué.
Les Masra Tarath font dans l’anarcho metal avec chant mixte et duo de CG in your face, avec reprises extrêmes des Sheriff et du Sois Fainéant de Coluche.

Masra Tarath à Mons

De notre côté, on a balancé un set un petit peu allégé dans le milieu mais rallongé à la fin pour finir à 22 H pile, avec rappel à la carte : Camarade B, medley LV88 (qui nous a fait frémir car on ne l’avait pas jouer depuis une paie) et Moi, demain. J’ai profité du micro HF très exceptionnellement prêté par Domi MT pour aller faire le con derrière le bar et mettre la tête dans le bac à glace (effet garanti).
Ensuite, on a passé une super fin de soirée à papoter avec nos nouveaux copains belges jusqu’à une heure du mat’ et on est allé (beaucoup) rigoler et (un peu) dormir juste au-dessus du bar.
Lundi, on a chargé vite fait le Vito, pris le petit déj’, virer le PV du pare-brise et on est rentré chez nous en 4 heures chrono. Pas mal, non ?
Allez, bisous les choupinous. Nous, on est vacances jusqu’à l’année prochaine !

Les M26-7 aux choeurs et non au trombone

M26-7 backstage à Roisel

M26-7 on stage à Roisel

B Bop et Gros Mil M26-7 à Roisel

Carlos Bop à Mons

En Belgique, il y a des mobs dans les troquets. C'est la Classe !

Vendredi 25 janvier : Preuilly avec Spaghetti Incident et samedi 26 janvier : Orléans avec Pogomarto

// mars 5th, 2013 // Pas de commentaire » // Concerts 2013, Non classé

Il faut avouer qu’en matière de concert, on a plutôt tendance à ne pas foutre grand-chose et attendre que ça arrive. Et vu le bordel que c’est quand on essaie de s’y mettre, on comprend pourquoi. Pour la faire courte (vous me connaissez), ce week-end devait être une virée dans les splendeurs dans la dualité du Berry (Cher et Indre pour les géographes en herbe) avec les potos d’Edouard Nenez et les Princes de Bretagne. Puis une virée Bourges / Orléans avec les potos de Garage Lopez. Mais la fameuse malédiction dite du « Drummer Loser » a frappé doublement et de plein fouet cette rigoureuse organisation. Finalement, on a fait appel à d’autres potos : les berrichons de Spaghetti Incident pour jouer à Preuilly et le duo anarcho-boitarythmé Pogomarto pour Orléans. Du rock de proximité en quelque sorte. Et quand même le plaisir de constater qu’on a pas mal de potos et ça c’est chouette !
Retour à la Marmite, 12 ans après notre dernier concert dans ce bar qui a vu défiler un paquet de bons groupes à la fin du 20ème siècle. Nostalgie ou privilège de l’âge, je vous laisse apprécier la différence. On retrouve avec plaisir Jean-Luc derrière son comptoir et Oliv’ Tazon et ses acolytes accoudés au même comptoir. Une petite boisson gazeuse et houblonnée et on installe le matos. Mini-balance et gros repas bien chaud au coin du feu. Et oui, si on chante le Berry, ce n’est pas que pour rendre grâce à la Terre de Yann et Carlito Bop ou pour exacerber un sentiment de ruralité latent, c’est aussi parce que dans le Berry, on sait vivre.
Puis vient le revers de la médaille pour les Spaghetti Incident : monter sur scène directement après une bonne bouffe. Heureusement, ce soir, le public berrichon a choisi de braver la rudesse de l’hiver pour assouvir sa soif de rock n’ roll. On retrouve pas mal de vieilles connaissances : les inévitables Titou et Igor, Eric le gothique et Eric Eko n’ ko, Rapich le roi du rock in eul’ Berry, Stan le punk et bien d’autres. Nostalgie ou esprit de famille, je vous laisse apprécier la différence.
Spaghetti Incident balance un bon set, avec leur nouveau clavier avec lequel ils n’ont même pas eu le temps de faire une répétition. Rock n’ roll stylee ! C’est pour ça qu’on les aime. Ils ont aussi emmené un vieux pote qui chantait dans les Savages et les Scratching Dups dans un autre siècle et qui est venu pousser la chansonnette avec eux.
De notre côté, comme toujours quand on joue vendredi et samedi, on se dit qu’il faut y aller mollo le 1er soir … et comme toujours on est allé au-delà du raisonnable : un set Brigitte Bop + un set des Clache + le rappel de Brigitte Bop + le rappel du rappel pour vérifier qu’on est vraiment au bout de nos limites. Pour l’occasion, on a commencé le set par un nouveau morceau outrageusement pompé à Kebra (le rat dessiné par Tramber et Jano, pas l’ancien guitariste d’Oberkampf) : Le rock n’ roll me colle aux groles. On est content parce qu’il est bien efficace. On a aussi ressorti une vieillerie de circonstance (qui a dit : Gob ?) : Anarchy in eul’ Berry. Efficace aussi, même en rappel du rappel avec une présentation à rallonge des musiciens, du public, du patron et même du sol du troquet (un beau carrelage noir et blanc).
Après ça, on s’est laissé aller aux traditionnels bavardages houblonnés, on a remballé le matos et on est allé faire l’after chez Yann, vu qu’il habite à quelques bornes de la Marmite.

B Bop recto-verso

Samedi midi, réveil, petit déj’, bon repas et divers glandouillages au ralenti sur fond de Clash (the) et Cash (Johnny), puis redécollage pour Orlins.

Copinage toujours, c’est les potos des RNCS qui nous ont refilé cette date à l’Infrared. A peine arrivé dans la place, le rituel reprend : bière fraîche, blagues de mauvais goût, matos super lourd à décharger et installer, balance rapide, arrivée de Pogomarto, bon repas et petit moment calme … avant la tempête.
La team Akoufène des punks de Châtillon est arrivée : le concert peut commencer. Pogomarto assure toujours autant. Les morceaux feraient monter une tribu de bonnes sœurs à l’assaut du Sacré Cœur, Aline vit les paroles et les présentations de Crush ferait mourir de rire un pape démissionnaire (ce qui ne serait pas si mal, d’ailleurs) et pour boucler la boucle, il a mis un tee-shirt d’Edouard Nenez. Pogomarto, c’est bon, c’est simple, c’est efficace. C’est pas ça la définition du punk ?
La salle est bien remplie quand on prend la suite et le pogo se déchaîne dès le 3ème morceau. Il fait aussi chaud dans la fosse qu’il fait froid dehors, ce qui n’est pas peu dire. Le Gob attaque à nouveau la scène pour une poignée de morceaux. On fait les marioles juste ce qu’il faut, les guitares montent et descendent au rythme des chorégraphies nadjesques. Il y a de la sueur et de la bière qui volent et on se termine sur un Moi, demain dantesque avec les Pogomarto aux chœurs. Bref, un concert excellent dans un lieu excellent ! Longue vie à l’Infrared et vive le rock libre et humide !
Et pour finir sur une ultime touche de nostalgie, avec Charles, on a ramené de ce week-end une fucking killing grippe comme on n’en avait pas eu depuis longtemps !

Retrouvez toutes les superbes photos de Tony Aubry sur Faiselle Bouque.

Back to the Future 2

// septembre 3rd, 2012 // Pas de commentaire » // Non classé

Un poto parigot a eu la bonne idée de ripper le DVD Highway to punk et de le you tuber.

Voici le reportage principal :

et le bonus Backstage

Back to the Future

// août 28th, 2012 // Pas de commentaire » // Non classé

On a retrouvé les tracts et affiches de nos concerts.

Y’a pas à dire, graphiste, c’est un métier.

Tracts 1996 / 1997

 

Tracts 1998 / 1999

Tracts 2000 / 2003

Tracts 2004

Tracts 2005 / 2006

Tracts 2007 / 2008

Et les anciennes affiches :

1996 :

2001 :

2003 :

Vendredi 11 novembre et samedi 12 novembre : What’s my name on tour à Orbec et Caen

// novembre 16th, 2011 // 1 Commentaire » // Concerts 2011, Non classé

OTH chantait « Il était chaud l’été 86″, et bien nous, on pourra chanter « Il était chaud l’automne 2011″. Niveau température déjà, si ce n’est pas vraiment l’été indien du célèbre chansonnier bigloucheux qui sifflait sur les collines, la météo est plutôt clémente. Niveau concert surtout, parce qu’on aura enchaîné les vacances … pardon les concerts avec nos potos de Garage Lopez et d’Edouard Nenez and ze PDB.
Ce week-end, c’était donc la suite du What’s my name on tour, tournée promotionnelle du magnifique split 45 tours Nem Dropping. Exceptionnellement, cette tournée s’éloigne de la Loire et s’approche de la mer. « J’irais refoir ma Normandie » s’époumonait en son temps le Chancelier pangermanique et sosie officiel de Charlie Chaplin. Et bien on a fait pareil, en Mercedes aussi, mais dans un modèle un peu plus récent.
2 heures et demi de routes de campagne et nous voilà rendus à Orbec dans le Calvados. Sur place, on trouve d’abord une bande de jeunes keupons havrais en avance, une fête foraine et le Rosanel’s Pub (de l’autre côté de la fête foraine). Mais point de Prince breton à l‘horizon ! Officiellement, ce retard est dû à un changement de roue défectueuse. Officieusement, on apprendra par la suite qu’une pause ostréicole cancalaise a peut-être sa part de responsabilité. Car oui, sachez le, le Prince de Bretagne, même parisien, même alsacien, même anarchiste, même bassiste, aime le bon manger et le bien boire. !
Mais tout vient à point à qui sait attendre (surtout si il y a du Pastis et des caouettes) et la troupe arrive enfin de sa Bretagne natale (la veille, ils jouaient à Rennes). Bisous-bisous, rafraîchissements et installation du matos.
En bonne vedette américaine, on s’installe et on profite de la balance pour tester une vieille reprise des Rats abandonnée depuis une paire d’année. Ouf, contre toute attente, ça passe. On la fera ce soir, décision à l’unanimité moins une voix.
S’en suit une pause dînatoire backstage sur laquelle je ne m’appesantirais pas car sinon, vous allez dire qu’on ne fait que boire et manger dans ces week-ends, alors que ce n’est pas vrai, on va aussi se promener sur la plage.
Vers 21 h 30, Stéphane, le sympathique patron metalophile du Rosanel’s nous invite à aller exprimer notre art sur la petite scène de son établissement. Comme toujours quand un type qui a des bras 3 fois plus gros que mes cuisses me demande de faire quelque chose, je m’exécute avec le sourire. Ca tombe bien, le bar est plutôt bien rempli (60 personnes selon les organisateurs) et tout le monde a l’air d’avoir envie de passer un bon moment. Nonobstant mon pied de micro qui n’arrêtait pas de bouger au rythme du pied de Charles qui battait la mesure, ce fut un chouette concert. Edouard est venu achevé son dernier filet de voix en hurlant des « Mayday mayday » de damné et on a donc réussi à jouer « Mon cafard et moi » des Rats, qu’on avait pas joué depuis 5 ou 6 ans. Si ça vous branche, il y a pas mal de photos et des ouidéos sur le web.
C’est donc vocalement diminué par, dans l’ordre, une bronchite, un concert la veille, une courte nuit bretonne et des éructations sataniques sur Mayday, que le sieur Edouard est monté sur scène avec ses Princes of Britain pour une heure d’enchaînement de tubes en contre-ut, tout en refoulant (mais pas du goulot !) les tentatives d’abordage de passagers clandestins. Tout ça pour la plus grande joie du punk havrais à crête verte et de tous les autres.
Après ça, on a continué la soirée en discutant avec des plus ou moins vieux punks normand et quand tout le monde est parti, la section rythmique bopienne a organisé un championnat du monde de bras de fer qui a tenu le Crew du What’s my name on tour en haleine pendant au moins 7 minutes (sauf Charles qui dormait en faisait de gazouillis de petit chat). Résultat du match : Lolux est sacré Champion du monde pour la 238ème fois.
Une dernière bière avec Monsieur et Madame Rosanel’s et on file à l’hôtel pour une petite nuit de sommeil.
Samedi matin, l’Empereur et sa femme ne sont pas là, mais tous les petits princes sont sur le parking de l’hôtel à 11 h pétantes, rejoints progressivement par des bouts de Bop jusqu’à reconstitution de l’équipe de la veille avec un peu moins de neurones pour certains et un peu plus de poches sous les yeux pour tous. Pour renforcer les liens, on organise inopinément un échange de fanions entre les 2 équipes, mais comme on n’a pas de fanion, on fait un échange de bières. On a vérifié auprès de la FFP, Fédération Française de Punk, ça marche aussi.
Retour au bar pour un café croissant salutaire, remballage du matos, séance photos « sale gueule du matin » et on décarre pour la suite du voyage. Direction : la mer.

"On a goûté les spécialités locales"

Enfin, c’est ce qu’on croyait avant que notre route ne soit rapidement déviée par un panneau « Calvados – vente directe » et qu’on se retrouve dans une ferme à écouter Monsieur Roch (ça ne s’invente pas) nous expliquer la fabrication du Calvados à grand renfort de dégustation liquide. Après 3 calvas et un pommeau (« c’est pas de l’alcool, ça ne fait que 17 degrés » dixit Monsieur Roch), les 7 princes de bopagne sont rassasiés. Chacun fait ses emplettes et on peut retenter un départ pour la mer.
Vers 14 H 30, on arrive enfin à Bernières sur Mer sur les plages du débarquement. On se gare à côté des camping cars pour faire rire les Zédouard (ils disent les Brigittes, on peut bien dire les Zédouard), on se fait une petite promenade sur le sable fin, on constate que « la mer, c’est beau » et hop direction Intermarché pour acheter de quoi se restaurer. On retrouve dans les rayons l’ami Fab’, natif du Loiret et exilé à Bernières, qui nous invite à manger chaud et au chaud dans sa tanière. Du coup, les plus gastronomes peuvent prendre une boite de tripes à la mode du coin. Chouette !
Donc, on mange, on se repose un peu et on reprend la route pour Caen.
On n’a pas beaucoup d’infos sur le concert et on se demande un peu où on va tomber. La salle est une usine désaffectée utilisée depuis peu de temps pour les concerts. Point positif, il y a une sono, quelques spots et il y a déjà un groupe sur place. On décharge le matos et on attend un peu que ça se passe doucement. Pascal, notre contact, arrive et on apprend que le groupe de rap (des petits jeunes du coin) ne veut pas jouer trop tard. L’ordre définitif sera donc : Jean-Paul Dub (un peu), Edouard Nenez, Fresh Caen Camps, Brigitte Bop et Jean-Paul Dub (un peu plus).

See you soon, Prince Jakez

Après quelques balances, la nuit est tombée (sans gravité je vous rassure) et le public arrive doucement. Jean-Paul Dub balance du son, un mélange de rock progressif et de dub avec projection vidéo.
Edouard Nenez prend la suite. C’est le dernier concert du guitariste Jakez Tembert qui quitte définitivement la Chou-fleurie pour la Choucroute. Mais la tristesse ne submerge pas le spectacle qui reste le plus fort : The Show must go home, comme disaient les viet-congs, qui avaient oublié d’être congs. Pour cette dernière, il aura même le soutien envahissant de Bastos pour les chœurs et la wha-wah. Pour capturer le public endubé par Jean-Paul Dub, les Nénesse attaquent fort avec un Guns of Brixton hypnotique de toute beauté. Et ça marche. La salle est remplie, le public est aux anges et ça pogote du début à la fin. Niveau voix, c’est toujours sur le fil du rasoir mais ça tient jusqu’au bout. Pour le reste, l’énergie et la bonne humeur sont toujours au top niveau et ça le fait : vive le punk-rock et fuck off les camping-cars !
Les 4 rappeurs de Fresh Caen Camps prennent la suite. Heureusement, ils ont de la voix et ils balancent un flow nerveux et des paroles … pardon … des lyrics radicales sur une rythmique enregistrée plutôt groovy. Le public, moitié punk, moitié arty, moitié hip-hop est chaud comme la braise et apprécie le son des FCC. Ca balance du lourd mais sans se prendre la tête. Pour finir, ils sont rejoints par la section rythmique des Princes et Charles Bop aux instruments et par plusieurs de leurs potes au micro. Tous assurent et ça propulse le public à un niveau d’excitation digne du Guiness Book.

Yann Bop à Caen

Comme on doit jouer juste après, on décide de choper le public directement au même niveau en attaquant avec Moi, demain (allez, tous avec moi la lala lala lala la lalala). Et ça marche. Le pogo repart de plus belle et durera au moins la moitié du concert avant que la fatigue ne commence à se faire sentir. C’est sauvage et heureusement que les Princes de Bretagne sont là pour protéger la sono, le matos, les micros et surtout nos chicots juste derrière les micros, le tout au péril de leurs côtes et de leurs docs jaunes. Décidément, l’Histoire est un éternel recommencement : une fois de plus, les Princes ont sauvé la princesse Brigitte !
Bref, ce fût un putain de bon concert punk rock qui s’est terminé de façon toute aussi punk rock, puisqu’à 20 secondes de la fin du dernier morceau : couic ! Coupure de courant. Merci bonsoir et bonne nuit les petits.
Malheureusement pour Jean-Paul Dub qui devait rejouer, c’est le câble d’alimentation générale qui a été coupé volontairement. Pour la légende, on aurait bien aimé que ce soit une action terroriste de dangereux nazis, mais il semble que ce soit plutôt l’œuvre de junkies décomposés sous champis. On attend quand même les conclusions de l’enquête.
On a donc remballé le matos à la lueur des téléphones portables, pris quelques dernières photos stupides et on s’est séparés sur le trottoir du Préau bis, dans cette zone industrielle automnale et bucolique. On a remercié Edouard pour nous avoir incrusté dans ces 2 concerts (3 pour les Zédouard) dans des chouettes lieux, avec du public et de l’ambiance. On s’est réparti les bières, les pommes et les restes de jambon et on est parti chacun de notre côté, vers d’autres aventures.
Et comme disaient les canadiens : Vive la Normandie libre !

Studip Championship

Caen l'appétit va, tout va !

Edouard Nenez au Préau Bis à Caen

Brigitte Bop au Préau Bis à Caen

The last one of the week-end

23 et 24 septembre : On tour avec Edouard Nenez

// septembre 12th, 2011 // 1 Commentaire » // Concerts 2011, Non classé

Deux sacrées dates avec Edouard Nenez et les Princes du napalm, histoire de fêter la sortie imminente d’un split 45tours Bop/Nenez.
Le disque s’appelle Nem Dropping. Il est en cours de construction dans un lieu tenu secret car il parait qu’on y a déjà pressé des disques d’ACDC et on craint des représailles de leurs services secrets. Voilà quelques photos de l’ami Sam en attendant  ….

Brigitte Bop en concert à Orléans avec Edouard Nenez

Brigitte Bop en concert à Orléans avec Edouard Nenez

Edouard Nenez en concert à Orléans avec Brigitte Bop

Nouvelles vidéos live

// septembre 12th, 2011 // Pas de commentaire » // Non classé

On continue avec les archives ouidéos.
Cette fois-ci, c’est nettement plus récent.
Les 2 morceaux les plus wack n’ woll du dernier albums filmés par l’ami Fab Betiz Fest lors du concert du Rigoletto (Paris) en mai 2011.

Salir ton costard

Nadine et Alain

En rangs serrés : le jeu Fessebouc

// août 12th, 2011 // Pas de commentaire » // Non classé

Chez Brigitte Bop, on aime bien les clins d’oeil, les références, voire piquer des idées à droite à gauche (mais souvent à gauche quand même), autant dans les paroles que dans les musiques.
Il y en a dans toutes les chansons.

Saurez-vous les retrouver dans le nouvel album ?

Le jeu est dispo sur notre page Fessebouc

Répondez dans les commentaires.

LSD à lire

// juin 4th, 2011 // Pas de commentaire » // Non classé

Les éditions Camion Blanc viennent de sortir un bouquin qui raconte l’histoire de La Souris Déglinguée.

Vivement qu’on vire ce gouvernement de droite pour qu’on mette ça au programme scolaire.

http://www.camionblanc.com/?p=detail_livre&ID=390

Couv LSD

Marchand daïzing

// mai 18th, 2011 // 3 Commentaires » // Non classé

Quand tout le monde attend un nouvel album, on arrive avec …

UN NOUVEAU TEE-SHIRT !

Disponible lors des concerts

Existe en tee-shirt rouge et tee-shirt noir.

Tailles : S, M, L, XL

Prix : 10 €

Faites comme Brigitte Bop, habillez-vous Brigitte Bop …

… et vous pourrez vous la péter grave !

Vive le sport

// mai 9th, 2011 // Pas de commentaire » // Non classé

A chacun son sport :
Les Lopez ont le foot.
Nous, c’est la pétanque.
Pour Zéric, King of Trauma Social, c’est le tennis :

Grand Z.

Oldies but goodies

// août 3rd, 2010 // 1 Commentaire » // Non classé

« Et toi non plus tu n’as pas changé » Dalida

« Rien n’a encore changé » Taï Luc

« Tu as changé » Michel Sardou

Parmi toutes ces citations de poètes et poétesses, à vous de trouver celle qui correspond le mieux au vidéos suivantes :

Merci à l’indispensable Didier Camérapunk pour ces images.
Retrouvez plus de vidéos punk rock du 20ème siècle sur la chaîne You tube Old Punk Stuff

Mise en ligne du nouveau site !

// mars 12th, 2010 // 1 Commentaire » // Non classé

Ca y est !
Après des mois de travail acharné et d’interminables réunions de validation, la version 3.0 du site est en ligne. Les mauvaises langues diront qu’il est trop bleu. Les plus malins pourront télécharger tous nos disques et même plus. Et comme disait Dick Dale : Bon surf !

Cash02